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16 septembre 2009
Je vous le dis franchement, je crains fort que l’historien de l’avenir ne doive accuser les révolutionnaires espagnols de n’avoir pas su profiter d’une situation révolutionnaire exceptionnelle.
Léon Trotsky (lettre à Andrès Nin, 12 décembre 1930)
Le 19 juillet 1936, les troupes militaires menées par le général Franco, soutenues par la droite réactionnaire et financièrement par les industriels, les grands propriétaires et l’Eglise, envahissaient l’Espagne. Ce soulèvement militaire en provenance du Maroc a pour but de renverser le gouvernement ouvrier-républicain élu aux élections de février 36. Dans un contexte d’effervescence sociale profonde, la réaction espagnole ne peut tolérer l’existence d’un gouvernement de « front populaire » qui est un réel danger pour ses intérêts.
Alors que le gouvernement, qui essaya piteusement la voie de la négociation, montrait un aveuglement qui ne dissimulait pas sa totale impuissance face à l’insurrection, dès le lendemain, le 20 juillet un formidable soulèvement ouvrier se dressait contre la junte fasciste. Sous l’impulsion de la CNT qui organisait alors plus d’un million de travailleurs, mais aussi de l’UGT et du POUM, les travailleurs s’organisent contre l’armée putschiste. Alors qu’il fait face à des rebelles structurés, fortement armés, le prolétariat espagnol fait preuve d’une conscience et d’une confiance incroyables et d’un profond enthousiasme révolutionnaire. Il encercle les casernes, les occupe, réquisitionne les armes restantes et les redistribue. Des détachements de gardes d’assaut et de civils rejoignent les travailleurs… Bien que complètement désorganisé et très mal équipé, en 15 jours il empêche la réussite du coup d’Etat dans les 2/3 de l’Espagne. A ce moment précis, dans les faits, il n’y a plus de gouvernement ni en Catalogne (où le soulèvement a été le plus fort) ni à Valence (gouvernement central). Le pouvoir est aux mains des travailleurs qui ont seuls, par leur volonté, accompli la tâche de stopper la réaction fasciste. Le gouvernement est en sursis, il n’a plus d’autorité, plus d’armée : soit celle-ci obéit à la réaction, soit elle s’est fondue dans la masse prolétarienne entraînée dans l’élan révolutionnaire. « À partir du moment où c’est la majorité du peuple qui mate elle-même ses oppresseurs, il n’est plus besoin d’un pouvoir spécial de répression. » [1]. Par ce soulèvement allait naître un profond processus de transformation sociale, une révolution prolétarienne.
Le prolétariat va prendre conscience de ses capacités d’auto-organisation et va commencer à réorganiser l’ensemble de la société selon ses propres intérêts. Dans la pratique, l’autorité gouvernementale est complètement désavouée. Sous l’impulsion de la CNT et du POUM (Parti ouvrier à unification marxiste), des milices se constituent et des colonnes s’organisent pour aller reconquérir les zones tombées sous le joug fasciste. La première et la plus célèbre, composée de 2 000 miliciens est la colonne Durutti qui partit de Barcelone, le 24 juillet pour l’Aragon et reconquit quelques 240 villages. Dans le même temps à Barcelone est créé le comité central des milices antifascistes qui devient un nouveau pouvoir, gérant le ravitaillement, l’administration judiciaire, la formation des unités de la milice, leur envoi au front, les questions économiques…
Un large mouvement de collectivisation des terres, de l’industrie et des services se construit, principalement en Catalogne, en Aragon, dans la région de Valence, mais aussi en Andalousie et en Castille.
Malheureusement alors que tout est à portée de mains pour les travailleurs et que rien ne peut empêcher la prise de pouvoir totale par les masses laborieuses qui investissent profondément la société, le processus n’est pas mené à son terme. Les organisations syndicales sont des organisations de masses en Espagne (CNT - de loin majoritaire -, UGT - syndicat dirigé par les socialistes). La CNT a une formidable audience auprès du prolétariat espagnol et, d’après Trotsky, « […] c’est dans les rangs de cette organisation qu’est concentrée l’élite du prolétariat espagnol. » Principalement, c’est elle qui impulse le soulèvement et organise les travailleurs dans le processus de transformation sociale. C’est donc la doctrine anarchiste qui guide la révolution. Et fidèles à leurs principes de refus de la dictature du prolétariat et d’un gouvernement des travailleurs, les anarchistes de la CNT vont s’arrêter en chemin, stopper le processus d’émancipation. La première bévue et exemple significatif, fut le refus de s’emparer de la réserve d’or. Une telle initiative aurait mis un point final à l’existence du gouvernement. « On répétait l’erreur des révolutionnaires de la Commune de Paris qui respectèrent la propriété des banques. » [2].
Alors que, le 20 juillet les gouvernements n’existaient plus que de nom, alors qu’il n’y avait pas de double pouvoir au lendemain du soulèvement, les dirigeants anarchistes n’eurent de cesse de donner aux gouvernements les possibilités de se renforcer, de rétablir une dualité fatale aux travailleurs. Car effrayé par les masses en mouvement et prompt à se défendre face à elles, le gouvernement central retira les fonds d’une Catalogne beaucoup trop révolutionnaire à son goût. Ceci eu pour effet, de fortement paralyser le principal centre industriel et militaire de l’Espagne. Et, pendant sept semaines, bien qu’il ne manquait pas d’or, le gouvernement central refusa d’acheter des armes pour équiper les travailleurs en lutte. Ce qui d’ailleurs est une leçon de choses sur la nature d’un gouvernement de front populaire.
Et ces mêmes dirigeants anarchistes de continuer : « la CNT et la FAI se décidèrent pour la collaboration et la démocratie, renonçant au totalitarisme révolutionnaire qui aurait conduit à l’étranglement de la révolution par la dictature anarchiste et confédérale. » Ainsi García Oliver (dirigeant de la CNT) justifie l’entrée de la CNT à la Généralité en septembre 36, puis au gouvernement central en novembre. Et encore une fois par cette démarche, ils participent à la contre-révolution qui permet petit à petit de réaffirmer l’autorité gouvernementale qui par nature n’avait comme seul dessein, la répression et la domination sur la classe ouvrière.
Une chose est d’analyser les politiques et choix opérés par les organisations anarchistes, mais étudier les stratégies et orientations défendues par les marxistes révolutionnaires en est une bien plus probante. Car, en désaccord profond avec le fondement même des doctrines anarchistes (refusant d’abolir la propriété et d’instaurer le seul pouvoir des travailleurs) nous n’avons aucun doute sur le fait que les stratégies qui en découlent ne peuvent conduire qu’à l’échec de la révolution socialiste.
Étant donné la situation et l’état de conscience avancé du prolétariat espagnol, il est indéniable que la crise révolutionnaire espagnole ouvre des potentialités extraordinaires pour l’accomplissement de la révolution socialiste. Les révolutionnaires ont donc face à eux des conditions inouïes pour mener les travailleurs à la victoire. Pourtant les héritiers de la révolution russe présents en Espagne sont voués à être spectateurs. A aucun moment, les bolcheviks-léninistes ne vont pouvoir influer sur la pente fatale vers laquelle est entraîné le prolétariat et assumer la tâche d’une direction révolutionnaire. Ils vont devoir contempler, impuissants, la réaffirmation du pouvoir du gouvernement et être les secondes victimes de la contre révolution stalino-républicaine. Si l’on considère que la première victime est le peuple espagnol lui-même : cette position vis-à-vis du mouvement ouvrier a pour origine la multiplication d’erreurs stratégiques, d’hésitations, de tergiversations et d’orientations opportunistes durant toute la période de mûrissement de la crise révolutionnaire entre l’avènement de la république en 1931 et le soulèvement ouvrier de juillet 36 :
Après la victoire d’Hitler en janvier 1933, dont la politique de l’Internationale communiste (IC) en Allemagne est plus que responsable, Staline qui sent le danger de la guerre mondiale venir à grand pas cherche à protéger l’URSS. Tous les moyens sont bons pour préserver « le pays du socialisme. » Il va entre autre, à travers l’IC et ses satellites (PCF, PCE) chercher à multiplier les alliances avec les bourgeoisies occidentales et par-là, mener une politique contre-révolutionnaire en soutenant contre le pouvoir des travailleurs et les processus de révolution socialiste les alliances de front populaire et les républiques. En Espagne cela se traduit par une lutte acharnée contre les conquêtes ouvrières, les comités des milices, les collectivisations… Les communistes espagnols n’auront de cesse de renforcer le pouvoir gouvernemental, de transformer la lutte des travailleurs pour la révolution en une lutte contre le fascisme pour la république. Et dans cette stratégie-là, les ennemis les plus dangereux pour Staline étaient les révolutionnaires marxistes qui luttaient pour le pouvoir aux travailleurs, pour la disparition de la république, pour la dictature du prolétariat. Ceux qui tentaient de guider les masses vers la révolution prolétarienne internationale étaient donc ceux qu’il fallait faire taire ou disparaître par tous les moyens.
Pourtant au début des années 30 lorsque la république est proclamée le Parti communiste est très peu influent et très limité numériquement. Et il existe en Espagne une section de l’opposition de gauche, un groupe de bolchéviks-léninistes dirigé par Andrès Nin et Juan Andrade. Ils vont, en perpétuel désaccord avec les orientations préconisées par Trotsky, commettre une série d’erreurs stratégiques qui laissa aux staliniens la possibilité de se développer et d’imposer leurs orientations.
La première erreur consiste, alors qu’une différenciation s’opère au sein du PCE au sujet de l’inféodation à Moscou, à refuser de rentrer en fraction dans ce dernier. Ainsi rien ne pu s’opposer à ce que la ligne stalinienne l’emporte.
Après la victoire d’Hitler qui bouleverse profondément la donne sociale au niveau européen chacun est obligé de reconsidérer sa stratégie. C’est à cette époque que Trotsky préconise l’entrisme dans les organisations socialistes. Le séisme provoqué par les évènements en Allemagne, va profondément ébranler le vieux Parti socialiste espagnol au sein duquel va s’opérer une profonde radicalisation et plus particulièrement au sein des jeunesses socialistes. Cette radicalisation s’accompagne en période de crise d’un fort développement numérique. Mais le PS, comme les JS (Jeunesses socialistes) n’ont pas de bases marxistes suffisamment affirmées et ne peuvent que trahir, malgré ces fortes aspirations, l’insurrection d’octobre 34. L’entrisme dans le PS et les JS aurait permis l’éducation d’une masse conséquente de militants et aurait dessiné d’autres rapports de force lors des événements de 34. S’entêtant dans l’aveuglement les oppositionnels espagnols continueront de refuser tout rapprochement avec les socialistes, si bien qu’au moment de la crise révolutionnaire de 36, dans une logique d’alliance contre le fascisme, les communistes réussissent en Catalogne une fusion avec les socialistes tout en imposant aux deux nouvelles organisations (Parti socialiste unifié de Catalogne et Jeunesse unifié de Catalogne), la ligne stalinienne.
Tout en refusant l’entrisme dans les organisations socialistes, les B-L vont décider d’une orientation sectaire et identitaire. Il existe en Espagne, depuis septembre 1935 un parti se réclamant du marxisme, le POUM, mené par J. Maurin, Andrès Nin et Juan Andrade. Ce parti est issu de la fusion du BOC (Bloc ouvrier et paysan), et de la gauche communiste espagnole (bolcheviks-léninistes espagnol). À sa création la nature du POUM n’est pas évidente car le BOC, qui a un rapport de force favorable au sein de l’organisation brille par ses orientations opportunistes. Tout en se réclamant des acquis marxistes, les « bloquistes » justifient une politique de collaboration avec la bourgeoise au nom de la spécificité espagnole (question nationale, système électoral…). Et malheureusement dans les faits, il n’y a pas de parti révolutionnaire capable de diriger le prolétariat lorsque a lieu le soulèvement ouvrier, car le POUM s’est, depuis les élections de février, lié les mains. Sous prétexte « d’adapter la tactique réaliste qui répondait aux circonstances [et] pour chasser du pouvoir la réaction et libérer 30 000 détenus » [3], le POUM a participé au front électoral ouvrier-républicain, qui n’est autre qu’un front populaire, allant jusqu’à signer un programme commun avec la bourgeoisie républicaine (gauche républicaine et union républicaine), le PS, les JS, le PCE et l’UGT. Le POUM commet alors une erreur monumentale dans l’analyse qu’il se fait de la situation. Car un tel gouvernement n’a en rien perdu de son caractère de classe. Bien que clamant son indépendance après les élections et bien qu’il ne participa pas au gouvernement, le POUM, du fait de sa confusion, entre février et juillet 36 est très fortement assimilé, à toute la clique des partis républicains et socio-démocrates ce qui fait qu’à la veille de la révolution qui s’impose par le soulèvement, le parti n’a que peu de liens avec la classe ouvrière.
Lors du soulèvement, il s’opère une accélération des transformations des partis. L’investissement des militants du POUM dans l’organisation de la lutte armée a joué, un rôle important et le parti acquiert un poids nouveau. Ainsi il passe de 6 000 à 30 000 adhérents. De plus, ses militants, reconnus comme des organisateurs, deviennent des cadres de la classe elle-même. Ce qui fait que très rapidement le parti devient un véritable parti de masse. Il met sur pied la première brigade internationale en Aragon, coordonne les milices avec la CNT… Mais encore une fois, ces frémissements ne peuvent ni changer, ni cacher la nature réelle du POUM. Car, lorsque les militants les plus avancés ont été décimés sur le front et comme sa base révolutionnaire n’est pas encore suffisamment développée, il va perdre son rapport dialectique avec la classe et retourner dans le giron des centristes « bloquistes . » Les oppositionnels de gauche, Nin en tête, vont rapidement perdre le rapport de force à l’intérieur du parti. Les dissensions entre les deux composantes vont continuer à l’affaiblir et l’obliger à commettre une nouvelle erreur qui compromet davantage les chances de succès de la révolution : suivre les directions anarchistes et rentrer aux côtés de la petite-bourgeoisie et des staliniens dans le gouvernement catalan en septembre 36.
La participation de la CNT et du POUM au gouvernement à partir de septembre permet à ce dernier de se développer toujours plus et d’imposer à nouveau son autorité sur celle des travailleurs avec cette fois-ci l’assentiment des organisations de travailleurs. Par la même occasion, les staliniens qui ont les pleins pouvoirs au sein du gouvernement continuent farouchement leur entreprise contre-révolutionnaire. Face à cette machine totalitaire les anarchistes, de par leurs principes, ne peuvent que peu de choses, si bien qu’ils passent très rapidement de l’autre coté de la barrière et soutiennent avec l’éloquence qui les caractérisent le mot d’ordre : combat contre le fascisme avant la révolution. Et un des leurs de conclure : « Nous savions qu’il n’était pas possible de triompher dans la révolution si nous n’avions pas gagné la guerre et nous avons tout sacrifié à la guerre. Nous avons sacrifié jusqu’à la révolution sans nous apercevoir que ce sacrifice impliquait aussi celui des objectifs de la guerre. » Une fois que la CNT, seule organisation qui pouvait impulser une révolte ouvrière, est aux affaires dans le gouvernement, dès le mois de décembre 1936 les communistes demandent et obtiennent que le POUM en soit écarté. Mais Largo Caballero alors chef du gouvernement refuse de dissoudre le parti. Décidés à mettre un terme définitif au processus révolutionnaire et prêt à tout pour garantir l’échec de la révolution, les communistes vont lancer une attaque contre les travailleurs avec l’aide de la police gouvernementale. Ils vont prendre d’assaut la centrale téléphonique tenue par les travailleurs de la CNT. Comme onze mois plus tôt, les travailleurs espagnols vont prouver s’il était encore nécessaire leur capacité d’auto-organisation et leur formidable volonté à défendre leurs acquis. Dans toute la région de Barcelone des combats ont lieu, des barricades sont installées. Malgré un appel au calme et une attitude de collaboration outrancière menée par la direction confédérale de la CNT, les combats, menés par les travailleurs comme un dernier souffle révolutionnaire, vont durer plus de dix jours. Alors que le 15 mai l’armée centrale envahit Barcelone, les communistes obtiennent par l’acharnement de la direction anarchiste l’arrêt des combats. Dans l’agitation, les communistes instaurent un nouveau gouvernement qui cette fois dissout le POUM. À partir de cet instant se met en place toute une campagne de calomnie et de persécution vis-à-vis des camarades du POUM. Ceux-ci vont être accusés de trahison et de collaboration avec le camp fasciste. Les journées de mai 37 marquent la fin de tout espoir : la victoire définitive de la contre-révolution stalinienne avec la ré-instauration de l’organe de répression de la bourgeoisie, le gouvernement républicain. Et dès cet instant, comment un gouvernement qui, de par sa nature, défend avec une mollesse incomparable les mêmes intérêts que la junte militaire rebelle, peut-il affronter le soulèvement fasciste ? Il est poignant, de voir à quel point la réalité se transfigure elle-même, à quel point l’évidence, qui par moment devient opaque sous le poids de l’oubli et de la traîtrise, ressurgit comme une lance pour se figer devant nous. L’alternative espagnole fut bien celle-ci : Socialisme ou barbarie.
Personne n’est obligé d’être révolutionnaire mais lorsqu’une crise révolutionnaire est aussi mûre que celle de l’Espagne en 36, il revient aux marxistes révolutionnaires d’en assumer l’échec. Comme dit plus haut, nous ne nous faisons aucune illusion sur la conséquence des orientations anarchistes, nous savons aussi, sans aucune naïveté, que les staliniens ont mené dans cette période une politique contre-révolutionnaire. Au regard de leurs principes et de leurs bases théoriques, ni les uns ni les autres n’ont fait d’erreur ou du moins de par nos désaccords, elles ne nous intéressent que de manière secondaire. De la même façon, les conditions spécifiques de l’Espagne, souvent utilisées comme argument par Andrès Nin dans sa correspondance avec Trotsky, ne sont ni une excuse ni une justification. Car elles doivent être traduites en langage international marxiste. Et pour ceux qui s’assignent la dure tâche de mener le peuple vers la révolution socialiste, il n’est pas d’argument possible qui les excuserait lorsque la révolution échoue. Ceci n’est en rien l’établissement d’une morale sectaire. Bien au contraire, à partir d’éléments objectifs et concrets, la critique sincère, honnête et intransigeante des erreurs commises par ceux qui, comme nous, se réclament du marxisme révolutionnaire doit nous permettre de nous éduquer et d’élaborer des stratégies conscientes. Elle doit nous permettre d’acquérir des connaissances qui nous aideront dans notre activité politique et militante à mieux appréhender les enjeux et d’en dégager des choix et des orientations toujours plus conséquentes pour la révolution socialiste.
[1] Lénine, L’État et la révolution
[2] Vernon Richard, Enseignement de la révolution espagnole
[3] Gorkin, La Batalla, le 20 avril 1937
Site web du Nouveau Parti Anticapitaliste (NPA).
Revue indépendante d’analyse stratégique anticapitaliste.
Actualité politique internationale de la revue Inprecor sous reponsabilité de la Quatrième internationale.
International Socialism, Revue mensuelle théorique du Socialist Worker Party.
Le site web de la LCR Belge contient de nombreux articles de théorie marxiste très intéressants.
Base de données de référence pour les textes marxistes.
Le site de la commission nationale formation du NPA.